Bonjour GB,
Pour répondre, un peu, à ta réponse, voici quelques renseignements sur les artistes qui exposent et sur cette exposition.
Myriam DELBAUCHE habite Tarciennes. Elle est institutrice maternelle de formation. Elle a suivi ses premiers cours de dessin pendant quatre années à l’école Normale d’Andenne. Depuis 2000, elle suit le cours de peinture à l’atelier d’art de MICHA à Acoz et de 2002 à 2003 elle a suivi les cours du peintre Jacques RIES à Gozée. Aujourd’hui, elle éprouve le plaisir à faire de la gravure sur verre et de la peinture sur soie.
Anne WILLAME est autodidacte. Elle se consacre à la peinture à l’huile sur bois et peut s’honorer de plusieurs expositions dont trois au casino de Namur. Son thème préféré est les animaux auquel s'ajoutent aujourd'hui les fleurs et les nus.
Manuela HAMES nous vient de Welkenraedt où elle y a son atelier.
Elle a suivi ses études en art déco à Verviers et y a poursuivi deux années d’Architecture à l’académie des Beaux Arts.
Elle aime rendre hommage à la féminité. Son éducation artistique est très variée c'est pourquoi elle aime, pour ses créations, utiliser différents matériaux: tels que le crayon (graphite), le fusain et les pastels pour ses oeuvres graphiques sur papier.
Lorsqu’elle travaille en peinture, elle utilise l’acrylique, son medium de choix car il lui permet une fluidité de brosses qui est parfois nécessaire pour certaines de ses oeuvres.
Les peintres Flamands et les hyperréalistes contemporains sont parmi ses artistes favoris. Dali, dont elle admire la vision super réaliste, a aussi une influence artistique sur ses goûts pour la représentation visuelle.
Annick TERWAGNE est née à Charleroi (Belgique). Artiste habitant MONTIGNY-LE-TILLEUL, où elle dirige la galerie d’exposition Intimerrance, elle est de plus en plus connue dans la région par ses pastels blancs représentant des femmes nues qu’elle dessine sur fonds noir avec une sensualité particulière émanant certainement de ses vingt dernières années à poser comme modèle nue. Ce qui lui donne aujourd’hui le surnom d’Annick, la pastelliste de la féminité.
Giovanni GIAMBRA est né en Italie, à Serradifalco. Aujourd’hui, domicilié à Marcinelle (Charleroi – Belgique), il voue à la sculpture une absolue passion.
Au départ d’un bloc de pierre choisi selon des caractéristiques en rapport au résultat souhaité, Giovanni GIAMBRA analyse la situation dans laquelle il se trouve, c'est à dire, un bloc de pierre sans défense sur son terrain de travail, un de ses outils en main, le déguisement nécessaire et c'est parti. Giovanni utilise ses outils et la force de ses mains pour sculpter, et encore sculpter, jusqu'à ce que cela ne soit plus un bloc de pierre mais une sculpture qui a une âme, cette âme qui l'a aidé jusqu'ici en lui donnant l'itinéraire à suivre pour en arriver là...